Contrairement à ce qu’on croirait devoir attendre d’un film sur de tels événements, La Voix d’Aïda ressemble parfois moins à un drame qu’à un film d’action. En tant que réalisatrice, comment avez-vous pris soin de trouver votre rythme idéal sur lequel raconter cette histoire ?
Je me suis rendu compte très tôt que tenter de sauver sa famille allait être une tâche très physique pour Aïda et qu’elle aurait à courir dans tous les sens. Je disais alors pour rigoler que La Voix d’Aïda allait être en effet un film d’action !