-
Archives
- novembre 2024
- octobre 2024
- septembre 2024
- juillet 2024
- juin 2024
- mai 2024
- avril 2024
- mars 2024
- février 2024
- janvier 2024
- décembre 2023
- novembre 2023
- octobre 2023
- septembre 2023
- août 2023
- juillet 2023
- juin 2023
- mai 2023
- avril 2023
- mars 2023
- février 2023
- janvier 2023
- décembre 2022
- novembre 2022
- octobre 2022
- septembre 2022
- août 2022
- juillet 2022
- juin 2022
- mai 2022
- avril 2022
- mars 2022
- février 2022
- janvier 2022
- décembre 2021
- novembre 2021
- octobre 2021
- septembre 2021
- août 2021
- mai 2021
- octobre 2020
- septembre 2020
- août 2020
- mars 2020
- février 2020
- janvier 2020
- décembre 2019
- novembre 2019
- octobre 2019
- septembre 2019
- août 2019
- juin 2019
- mai 2019
- avril 2019
- mars 2019
- février 2019
- janvier 2019
- décembre 2018
- novembre 2018
- octobre 2018
- septembre 2018
- juin 2018
- mai 2018
- avril 2018
- mars 2018
- février 2018
- janvier 2018
- décembre 2017
- novembre 2017
- octobre 2017
- septembre 2017
- juin 2017
- mai 2017
- avril 2017
- mars 2017
- février 2017
- janvier 2017
- décembre 2016
- novembre 2016
- octobre 2016
- août 2016
- juin 2016
- mai 2016
- avril 2016
- mars 2016
- février 2016
- janvier 2016
- décembre 2015
- novembre 2015
- octobre 2015
- septembre 2015
- août 2015
- juin 2015
- mai 2015
- avril 2015
- mars 2015
- février 2015
- janvier 2015
- décembre 2014
- novembre 2014
- octobre 2014
- août 2014
- mai 2014
- avril 2014
- mars 2014
- février 2014
- janvier 2014
- décembre 2013
- novembre 2013
-
Meta
Archives pour avril 2022
C.B. YI (Moneyboys)
Pour son premier film, le réalisateur sino-autrichien s’est emparé d’un sujet sensible : la prostitution d’un jeune Chinois. Formé par Michael Haneke en Autriche, ce cinéphile averti a pourtant voulu “respecter la manière chinoise de faire des films”. Avec une grande délicatesse. Présenté à Cannes 2021 en sélection officielle (section Un certain regard), Moneyboys est la chronique rigoureuse de la dérive mélancolique d’un jeune Chinois qui se prostitue pour aider les siens, tout en se condamnant ainsi à être rejeté par eux.
Publié dans Archives réalisateurs, Réalisateurs
Commentaires fermés sur C.B. YI (Moneyboys)
Mina Mileva et Vesela Kazakova (Women Do Cry)
Mina Mileva et Vesela Kazakova forment un duo énergique hors pair. Leur premier film, on ne peut plus féministe, dresse un portrait sans détour de la condition féminine dans la société bulgare. Rencontre.
Les étonnantes Bulgares Mina Mileva et Vesela Kazakova avaient peu fait, jusqu’ici, parler d’elles en France : la sortie en salles de leur cinquième film, Women Do Cry, qui a été présenté à Un certain regard au Festival de Cannes 2021, révèle le tempérament de feu de ce duo féministe. Volubiles, passionnément engagées dans leur travail et très drôles aussi, elles nous ont parlé de leur démarche de réalisatrices. Une rencontre qui a eu lieu avant l’entrée en guerre de la Russie contre l’Ukraine et ses répercussions, notamment en Europe de l’Est.
Publié dans Archives réalisateurs, Réalisateurs
Commentaires fermés sur Mina Mileva et Vesela Kazakova (Women Do Cry)
Omar EL Zohairy (Plumes)
Dans son extravagant premier long-métrage, le réalisateur égyptien s’est appliqué à transfigurer la réalité pour la rendre plus universelle, explique-t-il dans un entretien au « Monde ».
Commencé au Caire il y a trente-quatre ans, le trajet d’Omar El Zohairy est classique. Institut d’études cinématographiques, assistanat à la réalisation durant quelques années, notamment auprès de Yousry Nasrallah, puis réalisation de deux courts-métrages, dont, en 2014, rien que pour le plaisir de le citer : La Suite de l’inauguration de toilettes publiques au kilomètre 375. Plumes, son premier long-métrage, a été médité à Paris, lors d’une résidence de la Cinéfondation, que l’on remercie d’avoir incubé un talent aussi extravagant.
Publié dans Archives réalisateurs, Réalisateurs
Commentaires fermés sur Omar EL Zohairy (Plumes)
Hélier Cisterne (De Nos Frères Blessés)
Né en 1981
France
Réalisateur, scénariste
Hélier Cisterne : « Les cicatrices de la guerre d’Algérie sont toujours présentes aujourd’hui »
Comment en êtes-vous arrivé à faire du cinéma ?
Je suis issu d’une famille rurale, j’ai grandi dans un petit village à la frontière du Lot et de la Corrèze. Dans mon enfance, la culture est présente, mais les sorties dans les salles obscures sont rares. Un jour, alors que j’ai 15 ans, je suis en vacances chez mes grands-parents, je vais au cinéma avec une bande de copains en espérant pouvoir y embrasser une fille. Je découvre « Crash », de David Cronenberg, un film de chair et de métal, tordu comme la tôle d’une voiture accidentée. (suite…)
Publié dans Archives réalisateurs, Réalisateurs
Commentaires fermés sur Hélier Cisterne (De Nos Frères Blessés)