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Adam Mc Kay

Né le 17 avril 1968 à Philadelphie

USA

Réalisateur, scénariste, acteur

Frangins malgré eux, Very Bad Cops, The Big Short : le Casse du Siècle, Vice

Méconnaissable dans le rôle de Dick Cheney dans « Vice », l’acteur Charles Bale dresse un portrait amer et en colère de l’énigmatique politicien, ex-vice président des États-Unis.

Associé à presque toutes les administrations républicaines depuis la présidence Nixon, Dick Cheney connut l’apogée de sa carrière comme vice-président au côté de George W. Bush, entre 2001 et 2009. Après les attentats du 11 Septembre, c’est lui qui encouragea la désignation officielle de l’Irak de Saddam Hussein comme complice d’Al-Qaïda et réussit à convaincre l’influençable Bush Jr. de lancer l’Amérique dans une guerre aux désastreuses conséquences pour tout le Moyen-Orient. Habitué à l’immersion absolue dans ses rôles, Christian Bale, 45 ans, n’a pas hésité à empiler de nouveau les kilos pour s’approcher physiquement de ce mystérieux « Raspoutine » de l’Ouest (suite…)

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VICE

VICE

D’Adam McKAY– Etats-Unis – 2h12

Avec Christian Bale, Amy Adams, Steve Carell, Sam Rockwell, Alison Pill.

« Adam McKay réalise un tour de force : nous instruire avec intelligence et humour sur la success story la plus dramatique que l’Amérique ait connue ces dernières années. » (Isabelle Danel, Bande à part)« Vice » est la démonstration implacable d’un système inepte et fallacieux, qui prêterait plus à en pleurer qu’à en rire. Heureusement, Adam McKay opte pour la farce, dans un film jubilatoire, instructif et irrésistible. » (Jacky Bornet, Culturebox-France Télévisions)

 « La critique américaine a désossé le film, soit pour ses inexactitudes historiques, soit pour ses intentions militantes, soit pour son allure de turlupinade sarcastique. Or, c’est justement pour ça que nous, on l’aime. » (François Forestier, Le Nouvel Observateur)

Le 11 septembre 2001, à 9h38, dans une salle faisant office de centre des opérations d’urgence où sont regroupés les plus hauts responsables de la Maison Blanche, règne la plus grande confusion. Les téléphones sonnent de partout. George W. Bush n’est pas là, mais Dick Cheney, si. Vice-président, il outrepasse ses fonctions en donnant plusieurs ordres lourds de conséquences. C’est une blague ? Non, mais c’est tellement énorme que sous l’œil d’Adam McKay cela en devient une.Comment un technocrate grossier et limité tel que Dick Cheney a pu abuser tout le monde, voilà une énigme qui mérite d’être sondée. Le film remonte d’abord jusqu’en 1963 pour décrire l’atypique ascension de celui qui a commencé par saboter consciencieusement son maigre potentiel. Etudiant viré de Yale, il est alors ouvrier le jour et poivrot bagarreur le soir. Sa femme, Lynne, lui pose un ultimatum : soit il se reprend, soit elle part.Un sacré tempérament, cette Lynne. L’héroïne en creux du film, c’est elle (Amy Adams parfaite en bourgeoise patronnesse, auguste, déterminée). Une battante plus douée que son mari, très ambitieuse mais ultraconservatrice, antiféministe, sacrifiant sciemment sa possible carrière personnelle pour pousser son mari. Mais au fond, elle est toujours là, tapie dans l’ombre, à tirer les ficelles, y compris le 11 septembre.

Un troisième personnage haut en couleur : Donald Rumsfeld (Steve Carell) désopilant de grossièreté et de muflerie, le mentor républicain auprès de qui Cheney apprend l’essentiel en matière de cynisme politique.La satire montre les différents échelons gravis par Dick Cheney et finalement comment il a le champ libre pour diriger le pays en sous-main. Il a pu ainsi largement privatiser le pouvoir pour servir ses intérêts financiers.

Extrais de la critique de Jacques Morice, Télérama.

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Une intime conviction

UNE INTIME CONVICTION                                                                                                                          De Antoine Raimbault – 2018                                                                                                                             

Olivier Gourmet, Marina Foïs, Laurent Lucas, Jean Benguigui, Armande Boulanger,                                   Philippe Uchan, Arnaud Pepin, François Fehner

Pour son 1er long métrage, Antoine Raimbault redessine les contours flous de l’affaire Suzanne Viguier et plonge Olivier Gourmet et Marina Foïs dans un film de procès implacable et prenant de bout en bout.                                                                                                                                           Dans les écoles de cinéma, les professeurs mettent souvent en garde leurs élèves débutants contre un genre réputé le plus difficile à mettre en scène : le film de procès. Et de fait, les pièges ne manquent pas : espace confiné, multiplication des protagonistes et donc des points de vue, complexité du récit… Antoine Raimbault  passe outre et revient sur l’affaire Suzanne Viguier, du nom de cette mère de trois enfants dont le corps a disparu en février 2000. On accusera très vite le mari Jacques, professeur de droit, à commencer par l’amant de cette dernière qui n’hésitera pas à se substituer aux enquêteurs pour mettre à jour les contours du crime. D’abord acquitté, Jacques Viguier (Laurent Lucas) devra néanmoins se défendre pour son procès en appel. Un procès dominé par la personnalité du charismatique avocat pénaliste Me Eric Dupond-Moretti (Olivier Gourmet), aussi emphatique que son client (Jacques Viguier), emmuré dans sa douleur intime, est mutique. Ce n’est pas tant cette étude de caractère ou la vérité des faits uniquement discutés pour faire avancer la machine de son récit que la façon dont il peut représenter une justice à plusieurs visages qui intéresse le jeune cinéaste. Car si les procès, aussi difficiles qu’ils soient à restituer, plaisent tant aux cinéastes, c’est pour leur aspect « petit théâtre » où le protocole, les lois, les faits, les personnalités, les drames, invitent à singer le réel en le dramatisant à l’extrême pour faire admettre une chimère : la vérité.

OBSESSION. Cette vérité, Antoine Raimbault la recrée de toutes pièces et lui donne une identité. Elle s’appelle Nora (Marina Foïs, formidable), personnage de fiction, qui va remuer ciel et terre pour « sauver » Jacques Viguier dont elle est persuadée de l’innocence. C’est elle qui convainc Me Dupond-Moretti de prendre en charge ce dossier. Cet écart avec la réalité indique d’emblée les préoccupations d’un cinéaste qui entend démonter les rouages d’un monde qui, si on n’y prend pas garde, engloutit les plus fragiles. Et puisque c’est toujours dans les détails (ce que le commun des mortels n’a pas su voir ou entendre) que le faux-semblant est mis à jour, Me Dupond-Moretti pressent que ce sont dans ces heures et ces heures d’écoutes téléphoniques des différents protagonistes du drame que la différence peut se faire. Le film suit donc Nora, petit bout de femme issue d’un milieu modeste, qui va délaisser sa vie de famille et professionnelle pour devenir les oreilles du grand avocat. La quête vire au sacrifice et à l’obsession. Et même si, en bon garde-fou, son « maître » le lui rappelle à diverses reprises, Nora ne dévie pas sa route d’un iota. Cette route toute tracée est aussi celle du film qui affiche                                                                                                                                                                                                                                                                               une maîtrise presque froide. En effet, le contexte social de cette affaire où la bourgeoisie de province côtoie « le petit peuple » n’est jamais vraiment ausculté de l’intérieur et rejaillit de façon parfois maladroite via une représentation un peu simpliste. Des défauts que semble assumer Antoine Raimbault, avant tout préoccupé, on l’a dit, par la pantomime des uns et des autres, seule garante à ses yeux d’une justice qui doit, certes, s’interroger sur des faits, mais aussi apprécier la façon dont ils sont ensuite « mis en scène » par les avocats. Ce sont ces derniers qui tiennent in fine les rennes de l’histoire du procès. A ce jeu-là, Olivier Gourmet en Dupond-Moretti est bien trop fort. Personne ne peut lui résister. Et qu’importe si la vérité se situe bien là ou ailleurs. L’intime conviction qu’affiche le titre est bien celle de Nora. C’est elle et elle seule que le film entend préserver.                                                                                            D’après les critiques de PREMIERE

 

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Ryüsuke Hamaguchi

Né le 16 décembre 1978 à Kanagawa

Japon

Réalisateur, scénariste

Senses

Ryusuke Hamaguchi revient sur ce qui l’a inspiré pour «Asako» et commente les contraintes et les limites du cinéma commercial qui prévalent au Japon.

Après le réalisme de Senses, Asako surprend par ses embardées surréalistes. Pourquoi ?

Asako est mon premier film commercial, et au Japon, la différence entre films dits indépendants et films commerciaux est vraiment grande, il y a un zéro de plus ou de moins dans le budget. Cette différence s’accompagne de toutes sortes d’obligations, comme la nécessité d’être compris par un public plus large, (suite…)

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Rohena Gera

Née en 1973

Inde

Scénariste, réalisatrice, productrice

Monsieur

Entretien avec Rohena Gera

« Depuis mon plus jeune âge, je peine avec la relation que nous avons en Inde avec les domestiques. J’ai grandi avec une nourrice qui habitait chez nous et dont j’étais très proche… mais il y avait toujours une sorte de ségrégation. Plus tard, alors que j’habitais aux États-Unis et que je revenais parfois en Inde, (suite…)

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Louis Garrel

Né le 14 juin 1983 à Paris

France

Acteur, réalisateur

Les Deux Amis, L’Homme Fidèle

Louis Garrel : « On voulait que le film soit joueur, étrange, surprenant tout le temps… »

AlloCiné : L’homme fidèle est un film assez surprenant car il ne va jamais là où on l’attend…

Louis Garrel, acteur et réalisateur : Oui, le film est étrange car il commence comme un film français, c’est à dire qu’on s’attend à un programme et en fait, assez rapidement, le film change de programme. C’est un truc que le film ne va pas cesser de faire : changer de programme tout le temps. Il va alterner (suite…)

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Asako I et II

Un film de    Ryusuke Hamaguchi

Drame Japonais – 2019 –  1h.59 – VOST

Avec : Masahiro Higashide, Enka Karata

 

La carte du tendre d’Asako (station 1) est riche d’un premier amour passionnel dont le souvenir est très douloureux. En effet Baka, son amoureux d’alors, l’a quittée mystérieusement du jour au lendemain. Deux ans plus tard, elle rencontre et construit un projet de vie avec le sosie de celui-ci (station 2). Hasard, déterminisme amoureux ? Voilà, à priori, une intrigue un peu rebattue, à partir de laquelle, pourtant, Hamaguchi nous propose une déconstruction magnifique sur ce que c’est d’être aimé et d’aimer en retour. L’éternelle question du choix, du désir, de l’estime de soi, de la quête d’absolu aussi. Ce faisant, le réalisateur dépasse mais aussi témoigne du cadre sociologique et politique d’une société japonaise aseptisée. Asako, déterminée, ne craint pas de « perdre la face », faute difficilement pardonnable au regard des codes sociaux en vigueur au Japon.

Un film subtilement léger, émouvant, dans lequel le réalisateur réussit à ponctuer certaines scènes d’un humour réjouissant et empêche ainsi de prendre trop au sérieux son propos. L’ombre tutélaire de Rohmer, n’est pas loin.

A noter cette remarquable maîtrise des ellipses déjà soulignée dans « Senses », un premier film dont la longueur avait certes rebuté certains spectateurs mais séduit d’autres par sa maîtrise formelle. Sélectionné en compétition officielle à Cannes, le film a été très applaudi lors de sa présentation. Venez au débat du lundi 11 en parler avec nous dans la salle  à l’issue de la projection .…

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Monsieur

Un film de    Rohena Gera

Romance Franco-Indienne. 1h.39, VOST

Avec : Tillotana Shome,Vivek Gomber

Une histoire d’amour classique sur fond de différences de classe (de castes aussi) dans l’Inde d’aujourd’hui, pays tiraillé entre modernité et tradition. On peut craindre du « bollywood » pur sucre…eh bien, non, on est plutôt dans la veine Wong Kar Wai (In the Mood for Love) et c’est assez réussi.

Synopsis : Ratna , fille de la campagne qui rêve de devenir créatrice de mode, est engagée comme domestique par un couple aisé, bientôt séparé. La relation entre Ratna et son employeur, attirés l’un par l’autre se transforme en valse-hésitation face aux préjugés de leur entourage.

La mise en scène joue sur les silences, les regards, les non-dits suggestifs, avec une pudeur , une retenue qui font sens. Le rapprochement entre ces deux êtres se fait par touches délicates, sans que cela relève d’un déterminisme social pesant. Le fil de narration pourra sembler trop linéaire à certains, le happy-end trop prévisible. Au bout du compte, on a là un « feel good movie » servi par une actrice lumineuse, au jeu d’une belle sobriété : une bonne bouffée d’optimisme.

Rohena Gera signe là son premier long métrage de fiction. Elle s’est formée à New-York. Sans être autobiographique, le film, dit la réalisatrice, doit beaucoup à ses souvenirs d’enfance : petite, elle ne comprenait pas pourquoi sa nounou devait dormir dans un recoin de la maison et n’était pas admise à la table familiale 

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Programmation du 7février au 12 mars 2019

L’ORDRE DES MEDECINS De David Roux – France, Belgique – 2019  – 1H33 – VOST Avec Jérémie Reignier, Marthe Keller, Zita Hanrot

Film autobiographique, ce premier film de David Roux  investit comme décor l’hôpital non celui du rythme trépidant des urgences, des brancards fous,  et des soignants sauveurs mais celui, que tout le monde peut connaitre, celui des temps morts,  des attentes, des annonces difficiles et de la souffrance  contenue. Que ce soit du côté du patient, de sa famille ou du soignant . Ici Simon, (joué par Jérémie Reignier)  pneumologue aguerri, passe de son statut de soignant reconnu  à celui de fils qui perd pied devant la maladie pneumologique, fatale, de sa propre mère.(admirable Marthe Keller). Le film est d’une grande justesse , explorant, sans pathos et avec élégance, la frontière entre le professionnel et l’intime pour un médecin,  dès qu’un proche vit ses dernières heures, permettant de passer avec fluidité d’un film sur l’hôpital à une émouvante histoire  de famille.

Du 14 au 19 février

LES ESTIVANTS De Valeria Bruni Tedeschi – France,  Italie – 2018 – 2h08 Avec : Valeria Bruni Tedeschi, Pierre Arditi, Valeria Golino, Noemie Lvovsky, Yolande Moreau

Quelques jours d’été dans une grande belle propriété de la Côte d’Azur. Une famille réunie. Un lieu de rêve, de grandes tablées où on échange…  puis le récit s’enfonce dans la parodie caustique entre domination, bassesse, rivalités, jalousie, indifférence, lutte des classes. On se réjouit alors de la vivacité de Valéria Golino avec qui VBT forme un duo de sœurs épatant, de la jubilation évidente de Pierre Arditi à enfiler ce costume de patron de droite à la fatuité réjouissante, du jeu en demi-teinte de Bruno Raffaelli, de la faconde de Yolande Moreau et du talent sans cesse renouvelé de cette belle galerie de portraits. Cette comédie décalée nous délivre une appétissante tranche de vie, entre rires et larmes.

21 au 26 février

L’HOMME FIDELE De Louis GARREL – France – 1h15 Avec Louis Garrel, Laetitia Casta,  Lily-Rose Depp

Abel et Marianne s’aiment et vivent ensemble mais, un matin, elle lui annonce qu’elle est enceinte et qu’elle va se marier avec Paul, son meilleur ami. La séquence, vive et cocasse, déjoue notre attente, par la candeur perverse de Marianne et la docilité d’Abel. Dix ans ont passé, Abel retrouve Marianne à l’enterrement de Paul et il cherche à la reconquérir.  Mais Joseph, le fils de 10 ans, lui glisse un secret inquiétant : “Papa, c’est maman qui l’a tué”. A travers cet enfant, Louis Garrel explore la relation de (beau)-parent à enfant, les liens du sang et l’adoption de manière ludique et profonde. Avec ce thème, le fils de Philipe Garrel s’inscrit clairement dans l’histoire du cinéma en détournant avec finesse les figures paternelles de la Nouvelle Vague. Chaque scène est ciselée au cordeau, tout s’enchaine avec une fluidité jouissive, L’Homme fidèle se grignote comme une friandise et on se love avec plaisir dans ce cocon.

28 février au 5 mars

MONSIEUR De Rohena Gera  –  2018  –  1h 39  –  Franco-Indien – VOST Avec Tillotana Shome, Vivek Gomber…

Ratna est domestique chez Ashwin, le fils d’une riche famille de Mumbai. En apparence, la vie du jeune homme semble idéale et pourtant il est un peu perdu. Ratna comprend vite qu’il a renoncé à ses rêves. Elle, elle ne possède rien mais ses espoirs et sa détermination la guident obstinément. Deux mondes que tout oppose vont cohabiter, se découvrir, s’effleurer. Sur fond de lutte des castes ou des classes , si l’on préfère, une très élégante histoire d’amour. Un film plein d’espoir. Un premier opus très réussi salué par la critique.

7 au 12 mars

ASAKO 1 ET 2 De Ryusuke Hamaguchi  –  2019  –  1h 59  –  Japon – VOST Avec  Masahiro, Enka Karata…

Lorsque son premier grand amour disparaît du jour au lendemain, Asako est abasourdie et quitte Osaka pour changer de vie. Deux ans plus tard, à Tokyo, elle tombe de nouveau amoureuse ; elle s’apprête à se marier… à un homme qui ressemble traits pour traits à son premier amour évanoui. Un film encensé tant par la presse que par les spectateurs cannois dont on peut penser qu’ils ont été séduits par la subtilité de la mise en scène. « Un film d’une richesse et d’une sensibilité rare » nous dit J. Mandelbaum du « Monde »

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Valeria Bruni-Tedeschi

Née le 16 novembre 1964 à Turin

Franco-Italienne

Actrice, réalisatrice et scénariste

Il Est Plus Facile Pour un Chameau, Actrices, Un Château en Italie , Les Estivants

Avec « Les Estivants », dont le point de départ lui a justement été inspiré par « Les Estivants » de Gorki, Valeria Bruni Tedeschi signe un film réunissant de nombreux personnages. Lors d’une des toutes premières projections publiques du film, cet automne, Valeria Bruni Tedeschi est revenue sur ce qui a déclenché son envie de faire ce nouveau film :

(suite…)

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