Oh Lucy!

OH LUCY !

Quand une Japonaise froide et distante rencontre un américain familier et tactile, ça donne un film savoureux.

Il faut se laisser porter pour ce drôle de film pour le savourer totalement. « Oh Lucy ! » commence à Tokyo, où Setsuko mène une vie tranquille entre son ennuyeux travail de bureau et son petit appartement. Mais un jour, sa nièce Mika la convainc de racheter son abonnement à des cours d’anglais.

Là, Setsuko découvre John, un prof très particulier (Josh Hartnett, le beau gosse de « Virgin Suicides », « Sin City » ou du « Dahlia Noir »), qui lui demande de porter une perruque blonde et lui fait des câlins. Setsuko est intriguée. Quand elle s’aperçoit peu après que Mika s’est enfuie avec John en Californie, elle décide de les y rejoindre avec sa sœur…

Dans la première partie du film, on s’amuse beaucoup des différences culturelles entre cet Américain familier et tactile et cette Japonaise froide et distante. Puis, on se laisse surprendre par le fil des événements, totalement inattendus, fantaisistes. Peu à peu, le personnage de Setsuko se laisse entraîner par ses pulsions… Tout est possible au cinéma et c’est cela qui est jouissif dans « Oh Lucy ! ».

 

Dans la première partie du film, on s’amuse beaucoup des différences culturelles entre cet Américain familier et tactile et cette Japonaise froide et distante. Puis, on se laisse surprendre par le fil des événements, totalement inattendus, fantaisistes. Peu à peu, le personnage de Setsuko se laisse entraîner par ses pulsions… Tout est possible au cinéma et c’est cela qui est jouissif dans « Oh Lucy ! ».

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