L’AMOUR FLOU

L’AMOUR FLOU

De Romane BOHRINGER et Philippe REBBOT – France – 2018 – 1h36 

Avec leur famille et des amis. 

Après 10 ans de vie commune, deux enfants et un chien, Romane et Philippe ne s’aiment plus. Enfin…ils ne sont plus amoureux, mais ils s’aiment, quand même. Beaucoup. Trop pour se séparer vraiment ? Bref…c’est flou. On aime. (Le Dauphiné libéré)

Ceci est la vraie histoire du couple d’acteurs, avec au casting, les vrais parents et vrais amis, qui jouent, certains l’enthousiasme, et d’autres les oiseaux de mauvais augure, devant cette singulière solution, un « sépartement », c’est-à-dire un appartement coupé en deux, avec la chambre des enfants comme seule pièce communicante. (Guillemette Odicino, Télérama)

Cette autofiction réfute les conventions du 7ème art, ses règles tacites de narration et de production, pour composer, dans l’impulsion et avec une fougue d’écriture, un cinéma débridé, dans lequel on se sent délicieusement bien. (Xavier Leherpeur, Le Nouvel Observateur)

Mise en abîme et autodérision sont au rendez-vous. Tout cela n’est donc pas juste une blague de potes, un délire conjuratoire, mais bien un film écrit, pensé, avec dialogues et personnages, autrement dit, une fiction. (Emily Barnett, Les Inrockuptibles)

Des scènes cocasses, des répliques qui fusent, des apparitions de seconds rôles drôlissimes, mais aussi, l’air de rien, un vrai questionnement sur le couple.  (Adrienne Valadier, Voici) 

Ce qui touche, c’est la question que beaucoup peuvent se poser : comment sauver la cellule familiale quand le couple vole en éclats ? (Lucie Vidal, La voix du Nord) 

Une grande liberté pour s’inventer une nouvelle vie familiale qui a reçu le Prix du Public au festival francophone d’Angoulême.

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